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10 février 2015 – 50 è anniversaire- Padre Pio et Brunatto sur France Inter

Le 10 février 1965 Emanuele Brunatto a pris le chemin du Ciel.

Pour lui rendre hommage, nous avons réalisé une mise en image d’une émission de France Inter portant sur le Padre Pio, son défenseur et ses oeuvres.

15 minutes pour découvrir des photos parfois inédites. Un beau voyage dans l’histoire.

Il y avait encore beaucoup de choses à mentionner sur Brunatto, comme sa grande proximité de trois saints : Padre Pio, Don Orione et Jean XXIII. Un destin véritablement extraordinaire.

Pourtant, qui cherche encore à éclaircir les circonstances de sa mort, un verre contenant de la strychnine a été retrouvé dans son bureau / appartement de Rome…

Le Padre Pio sur France Inter voyage dans la vie du Saint prêtre aux stigmates from Padre Pio le Film on Vimeo.

Extraits choisis d'une émission diffusée sur France Inter avec une mise en images à partir de photos d'archives souvent rares ou inédites.
La vie du Padre Pio, un voyage dans l'histoire du XX ème siècle.
15 minutes à la découverte d'un Saint, de son défenseur, de l'Église et ses oeuvres.

NB : en avril 2015 sera disponible le film Padre Pio pour la première fois en Français
http://padrepio.ebpio.com/

La vérité sur Emanuele Brunatto, disciple de Padre Pio – Causeur juin 2014

Le 16 juin 2014 est le 12ème anniversaire de la canonisation de St Pio de Pietrelcina, au lendemain de la fête des pères, deux bonnes raisons pour rétablir certaines vérités.

« La désinformation, c’est ne dire que la moitié des choses, celles qui me conviennent, et ne pas dire l’autre moitié : de sorte que celui qui (la reçoit) ne peut bien juger les choses parce qu’il n’a pas tous les éléments, car ils ne lui ont pas été livrés… » (Pape François)

 

1.Dans un l’article publié dans le numéro de janvier et consacré à la biographie de Padre Pio par Sergio Luzzatto, l’historien Aviad Kleinberg mentionne  votre père, Emanuele Brunetto, qu’il qualifie, en citant le livre sujet de sa récession, de « collabo et trafiquant au marché » noir ».   Qui est Emanuele Brunatto et quel rôle a-t-il joué dans la vie de Padré Pio ?

Emanuele Brunatto selon portrait réalisé par Angela De BonisEmanuele Brunatto est né à Turin en 1892, il aura de multiples métiers et une vie particulièrement dissolue jusqu’en 1920 où, suite à la lecture d’un article, il va se rendre à San Giovanni Rotondo pour découvrir le premier prêtre stigmatisé de l’Église. De cette rencontre, qui débutera par une confession mémorable, s’en suivra une conversion immédiate. Il sera le seul laïc à partager la vie de Padre Pio durant 3 ans, logeant dans la cellule (chambre) voisine du capucin. Ceux que tout séparait se trouveront en union d’âme et de cœur.

Le Padre Pio sera persécuté et maintes fois restreint dans l’exercice de son ministère. Face à ses détracteurs, Emanuele Brunatto sera l’homme qui, dès 1923 et jusqu’à sa mort suspecte en 1965, mènera le combat de la vérité pour la défense de son père spirituel et de l’Église du Christ.

Le Padre Pio ne prophétisera t-il pas lui même le rôle qu’allait jouer son fidèle défenseur, en l’appelant dès les années 20, « le policier » ou « le Français ».

– Le policier : ses enquêtes et son incroyable don pour dénouer l’écheveau des complicités qui depuis le petit village des Pouilles se prolongeait jusqu’à Rome, amèneront le Vatican à lui conférer des mandats lui donnant accès à des personnalités et des documents les plus secrets.

– Le Français : en 1931, il quittera l’Italie pour s’installer à Paris, où, sans lâcher prise dans le combat pour « son Père », il utilisera ses fabuleux talents d’entrepreneur pour le développement d’activités industrielles dans le domaine ferroviaire. La guerre n’allait pas arrêter ce « paladin des temps modernes » (expression du journaliste G.Daix qui l’a rencontré à plusieurs reprises), dans ses actions de bienfaisance et d’entraides aux plus démunies et aux victimes de l’occupation.

En 1958, avec la mort de Pi XII,  Padre Pio perd un puissant protecteur. C’est maintenant l’argent des donateurs du monde entier, qui afflue pour soutenir l’oeuvre du Stigmatisé, qui suscite les convoitises. Le capucin demandera à Brunatto de revenir en Italie en 1962, le défenseur se remettra au travaille pour un ultime combat. Le 10 février 1965 il sera retrouvé mort dans son bureau appartement de Rome. La version officielle parle d’un arrêt cardiaque. Malgré la présence chez lui d’un verre contenant de la strychnine, il n’y aura aucune enquête.

Avec la canonisation de Jean XXIII, c’est une nouvelle facette du destin extraordinaire d’Emanuele Brunatto qui voie le jour, celle d’un homme qui aura été le proche de 3 saints canonisés de l’Église Catholique (St Luigi Orione, St Pio de Pietrelcina et St Jean XXIII).

Je ne peux que renvoyer le lecteur à son autobiographie édité en 2011 (Padre Pio mon père spirituel – le destin extraordinaire du premier fils spirituel du stigmatisé – éd. de L’Orme Rond).

2. Pourquoi Sergio Luzzatto, l’auteur de « Padre Pio Miracles et politique à l’âge laïc » lui attribue ces faits ? Sur quels éléments cette accusation est-elle fondée ? Est-elle partagée par d’autres ?

Il ne s’agit nullement de faits, mais d’une interprétation d’une histoire travestie et incomplète. Il est facile d’accuser du pire un homme d’affaires italien qui s’enrichit durant l’occupation, en ne mentionnant que sa condamnation à mort par contumace à la libération. Mais la rigueur historique implique alors d’évoquer sa mise en liberté en 1951, une fois les témoignages et les preuves de ses actions connus. Pas de trafic, pas de collaboration, mais un organisateur de génie qui réussit, de manière  légale, à prendre d’une main dans la poche de l’occupant ce qu’il redistribuera de l’autre dans des œuvres multiples. Alberindo Grimani, l’historien de référence concernant Brunatto, à écrit :

 » Dans le Paris occupée par les Nazis entre 1940 et 1944 un homme a agi, un Italien nimbé dans le mystère d’une légende qui lui était plutôt défavorable. Certains le traitaient d’espion, d’autres d’aventurier douteux, d’autres encore de collabo, d’arnaqueur ; d’autres, enfin, le haïssaient et l’ont couvert de boue et d’insultes en tout genre pour la simple raison qu’il était le plus grand défenseur de Padre Pio de Pietrelcina ». Extrait traduit de la préface du livre « 146 Boulevard Haussmann », à paraitre en français fin 2014.

Les enquêtes réalisées par Emanuele Brunatto, pour démasquer les instigateurs et les responsables du torrent de diffamations et d’injures qui mêlés aux faux témoignages ont alimenté les persécutions, sont des faits connu des historiens, c’est ce qui lui vaudra le surnom de 007 de Padre Pio.

Mais Luzzatto a opéré de nombreuses omissions, préférant ne conserver que les calomnies. L’historien Aviad Kleinberg a très justement évoqué le manque d’interprétation sérieuse de l’auteur quant à des preuves compromettantes entachant l’histoire de Padre Pio et de son plus ardent défenseur.

 

3. En 1951 votre père a été jugé par un tribunal militaire français. Quelles étaient les charges contre lui et quelle était l’issue du procès ?

Alors qu’après la libération il fut condamné à mort par contumace, voici qu’Emanuele Brunatto est maintenant face à ses juges pour répondre en personne de l’accusation d’atteinte à la sureté extérieure de l’État en tant de guerre.

Ce procès est particulièrement instructif, grâce en autre au dossier de défense qui dresse un descriptif détaillé et chiffrés des activités de l’accusé entre 1931 et 1951, il révèle l’extraordinaire dévouement de cet homme pour aider les plus démunis ou les plus en danger.

On y trouve une liste de dons avec les bénéficiaires : plusieurs congrégations religieuses, le paiement des arriérés de pensions aux mutilés de guerre, etc. C’est aussi la création et le financement anonyme d’une œuvre caritative  » la boisson chaude », sorte de soupe populaire qui distribuera dès l’hiver 1941, plus de 18.000 rations par jours aux Parisiens.

Est-ce vraiment l’œuvre d’un collabo-trafiquant d’offrir  3.500.000 francs (de 1941) pour le lancement des travaux de la « Maison du soulagement de la souffrance » le grand hôpital voulu par Padre Pio au cœur de l’Italie du sud.

Pourquoi Luzzatto passe-t-il sous silence les témoignages que plusieurs familles juives ont rapportés au tribunal, par reconnaissance  à celui qui les a sauvées d’une mort certaine, au risque de sa  propre vie. Elie Carasso a publié, dans son livre « les voix de la mémoire » David Zitte 1997 –pages 123-133, le témoignage de l’une d’elles.

Pourquoi ne pas évoquer la création et le financement de l’Institue Coopératif, dont les travaux initiés à Lourdes en 1947, avaient pour objet de définir les bases d’une nouvelle doctrine économique, profitable à tous les Hommes. En février 1964, la Tribune de Genève publiait un long article sous le titre «Un industriel italien propose une économie chrétienne du travail et du crédit ».

Nul besoin de se lancer dans un débat historique contradictoire, puisque la justice l’a déjà tranché en 1951. M. Luzzatto utilise des éléments du procès dans sa description d’un personnage digne du peloton d’exécution, il omet de citer l’essentiel, Emanuele Brunatto est sortie libre du tribunal.

A la description de mon père comme « collabo et  trafiquant du marché noir », pourquoi ne pas y voir un humanisme chrétien, sauf à vouloir le discréditer le disciple pour mieux nuire au Padre Pio et à l’Eglise ?

 

François Brunatto

Article réponse publié par le magazine Causeur le 22 juin 2014 à voir ici

 

 

 

Padre Pio et l’histoire du célèbre avocat St Yves

Les soirées au monastère se suivaient, mais ne se ressemblaient pas. Le Père Pio apportait toujours du nouveau aux entretiens de la communauté : c’étaient parfois des apologues forts instructifs, présentés avec beaucoup d’à-propos et d’humour. À l’occasion de la visite d’un avocat de renom, il fit ce récit de l’arrivée au ciel du célèbre avocat saint Yves :

« Après sa mort glorieuse, saint Yves va frapper à la porte du paradis. Saint Pierre lui ouvre et l’invite à présenter ses papiers. La profession du nouvel arrivant fait froncer les sourcils du saint concierge. Mais les papiers sont en ordre :

– Bon, entrez.

La porte à peine franchie, saint Yves, se retournant vers la loge s’exclame :

– Ma foi, je crois que je suis passé de justesse !… Tout de même j’aimerais savoir comment ce portier-là a pu décrocher un tel pouvoir !… Il ne l’a certes pas reçu à cause de sa science, car il était ignorant, ni à cause de sa virginité, car il était marié, ni à cause de sa fidélité, car il a renié le Christ Jésus, ni à cause de son courage, car il a fui le martyre…

Le saint avocat ne se prive pas de communiquer ses remarques aux bienheureux avec lesquels il noue connaissance en se promenant dans les allées du paradis…

– Je comprendrais, explique-t-il, que le pouvoir d’administrer la justice entre la terre et le Ciel fût donné à Saint Paul pour sa science, à Saint Jean-Baptiste pour sa pénitence, à l’apôtre Jean pour sa pureté et son amour, ou encore à saint Étienne pour sa force et son courage… mais que ce pouvoir suprême revienne à celui qui ne fut ni savant, ni pénitent, ni vierge, ni courageux… ni même très sympathique… voilà ce que je ne comprends pas.

L’argumentation de l’avocat est convaincante, animée d’une grande passion pour la justice… Les bienheureux écoutent avec curiosité d’abord, puis avec intérêt et sympathie… des cercles se forment et les partisans de la thèse de saint Yves se font de plus en plus nombreux. Certains s’exclament, surpris :

– Mais c’est exact !… Clair !… Indéniable !… C’est à se demander comment nous n’y avons pas songé jusqu’alors. Et, cependant, nous sommes légion à avoir donné notre sang pour faire l’unité de l’Église autour de celui-là…

Bientôt, dans tout le paradis, la révolte gronde contre le pêcheur de Galilée… Celui-ci, informé, va se plaindre au père éternel, qui décide de convoquer aussitôt l’avocat justicier. Saint Yves n’a jamais connu un plus beau jour : toute la cour céleste est là pour l’écouter. L’Éternel lui-même l’invite à parler :

– Nous avons entendu dire, Yves, que tu as formulé des plaintes à l’encontre de notre concierge… nous voudrions que tu les exposes devant notre tribunal de Gloire : nous t’écoutons.

Dans une forme splendide, le célèbre avocat fait, dans son exorde, l’éloge de la sagesse divine… et pose la grande question :

– Qui instruira l’humanité au nom de cette sagesse sans fin ?… L’étourdi qui voulait dresser les trois tentes sur le Thabor et détourner le Christ du chemin de la passion ?… Qui fera l’unité de l’Église par la foi d’Abraham ? Celui qui faillit se noyer dans le lac de Tibériade à cause de son peu de foi ?… Qui jugera les martyrs et les confesseurs ? Celui qui, par lâcheté, refusa son témoignage au Fils de dieu, traîné devant le tribunal des hommes ?

Au fur et à mesure que l’orateur développe son inexorable réquisitoire, saint pierre, saisi d’angoisse, sent l’éther lui manquer sous les pieds… à la fin, saint Yves, embrassant d’un grand geste la resplendissante assemblée, s’écrie :

– Je vois à Tes pieds, ô Père Éternel, les mille et mille martyrs, apôtres, vierges, docteurs et confesseurs qui, à plus d’un titre, apparaissent dignes de juger l’humanité en Ton Nom trois fois saint…

Le Père Céleste, opinant de la tête, interrompt l’orateur :

– Oui, mon cher Yves, tu as rappelé des événements historiques et ton argumentation est serrée, émouvante…

Saint Pierre, atterré, laisse tomber ses clés dans les nuages…

– Mais voilà, ajoute le père, ce que mon Fils a fait est bien fait, et nul n’a le droit de le discuter.

Et se couvrant la tête de sa calotte, le maître de l’univers, déclare close la séance. Saint Yves, rougissant, tire sa révérence et essaie de filer à l’anglaise. Mais saint pierre allonge le pas, le rejoint et, lui posant la main sur l’épaule :

– Écoute, mon cher, lui dit-il, tu es passé et prosit… mais tu es le premier et le dernier avocat qui soit entré au paradis. »

Extrait du livre : Padre Pio mon père spirituel, d’Emanuele Brunatto – page 69 ed.2012 Editions de l’Orme Rond

Padre Pio Miracles et politique à l’age laïc par Luzzatto chez Gallimard

Le 5 septembre 2013 est paru en France un livre, qui a soulevé de vives polémiques à sa sortie en Italie en 2007, de « l’historien » italien Sergio Luzzatto, sous le titre « Padre Pio, Miracles et politique à l’âge laïc. »

Je laisserai le lecteur trouver les références du livre, mon intention, disons-le tout de suite, n’étant pas de lui faire de la publicité. Pourquoi me direz-vous ?

Sachez qu’en France, il n’est pas possible de poursuivre un auteur pour diffamation, lorsqu’il salit la mémoire d’une personne défunte, même de votre propre famille. Il est uniquement possible de demander un « droit de réponse ». Dans le cas qui nous préoccupe, il pourrait se traduire par 15 lignes sur le site internet de l’éditeur…

Voici donc ce que nous avons demandé à l’éditeur Gallimard :

Droit de réponse au livre de Sergio Luzzatto – Padre Pio – Gallimard ed.2013

Comment peut-on prétendre écrire sur Brunatto et avoir eu accès aux archives des procès de 1948 et 1951, sans jamais faire allusion aux nombreux témoignages de soutien envers Emanuele Brunatto, de personnes auxquelles il a sauvé la vie (souvent au péril de la sienne), dont il a assuré la protection, qu’il a cachées, fait travailler, subvenant à leurs besoins, pendant la 2e Guerre Mondiale ?

Pourquoi une famille juive, ayant habité plusieurs années le même immeuble que ce « collabo », s’apprête-t-elle à publier un témoignage, pour le faire reconnaitre comme Juste en Israël ?

Pourquoi l’officier des AJM a-t-il formulé ce commentaire en présentant les archives des procès : « le dossier E. Brunatto,  c’est la liste de Schindler » (histoire qui a inspiré le fameux film de Spielberg) ?

Doit-on mépriser celui qui a pris de l’argent aux nazis pour le distribuer aux plus nécessiteux en finançant : la Boisson Chaude – plus de 18.000 rations par jour,  des dizaines d’œuvres caritatives, la construction de l’hôpital de SGR, etc. ?

« Il y a toujours un Brunatto dans chaque histoire de persécution: calomnié, outragé, craint et maudit, il résiste et survit. Les hommes comme lui ne disparaissent jamais, et c’est peut-être pour cela que la vérité ne disparaît jamais. F. Chiocci » 

Nous invitons le lecteur à se reporter aux archives numériques disponibles sur le site internet dédié au Padre Pio et à Emanuele Brunatto www.ebpio.com.


NB : Par contre l’auteur ou l’éditeur pourrait se retourner contre moi si, d’aventure, je qualifiais l’ouvrage par exemple, d’infâme torchon truffé d’erreurs, d’omissions et de manipulation des archives, n’ayant pour objet, sous le couvert d’un habillage historique, que de servir les thèses de l’auteur. L’historien supposé aurait lui le droit d’insulter et de discréditer Saint Padre Pio, ainsi que tous ceux qui l’ont aimé et servi.

Pour éviter donc tout problème avec la justice, je n’émettrai aucun commentaire sur cet ouvrage et me contenterai de présenter des remarques purement factuelles et VÉRIFIABLES.

Dès que possible, nous publierons sur cette page les références discutables de ce livre, avec les copies des documents numériques concernés. Nous invitons le lecteur à se reporter dès maintenant aux sections « biographie » et « archives » sur notre site.

MAJ- Juin 2014 – à lire notre entretien publié par le magazine Causeur

 

 

 

Padre Pio mon père spirituel par Emanuele Brunatto – Le Publicain

 

 Padre Mon père spirituel

Le destin extraordinaire du premier fils spirituel du stigmatisé

Mort dans des conditions suspectes en 1965, il est le premier fils spirituel du Padre Pio, auteur de sa première biographie (mise à l’index trois jours après sa publication) et son défenseur le plus actif de son vivant…

Sa rencontre avec le célèbre stigmatisé bouleversera et jalonnera, jusqu’à la fin, la vie insolite de ce laïc peu ordinaire. La postface en retrace brièvement les dernières étapes bien remplies et mouvementées.

Outre l’intérêt proprement historique de ce manuscrit, le récit personnel qu’il fait ainsi d’une rencontre providentielle entre un saint – et quel saint ! – et un pauvre pécheur – avec quelle vie ! – présente également, avec ses luttes et ses fiorettis, une valeur éminemment apologétique.

Date de parution : novembre 2011
Editeur : L’Orme Rond
Prix : 19 €
Disponibilité : en stock, expédié sous 48h
ISBN : 979-10-90917-00-2
Nombre de pages : 160





Livraison en France uniquement, dépôt à la poste le jour même ou maximum sous 24h.

La vente de ce livre servira aux frais de traduction et de publication des autres livres d’Emanuele Brunatto

Nb : Livraison Dom Tom et reste du monde voir ci-dessous

Achat direct sur le site de l’éditeur Editions de l’Orme Rond

Pour une commande hors de France, il est possible d’acheter le livre sur Amazone

 

 

 

Pour celles et ceux qui ont le livre, voici le sommaire « complet » avec tous les sous-chapitres,Table des matières Padre Pio mon Père spirituel comp

 

 

L’IMMACULÉE CONCEPTION ET L’ÉCOLE CONGRÈS MARIAL INTERNATIONAL 1958

CONGRÈS MARIAL INTERNATIONAL

Lourdes 1958

SECTION DES PÈRES DE FAMILLE

L’IMMACULÉE CONCEPTION ET L’ÉCOLE

( ESQUISSE D’UN  HUMANISME CHRÉTIEN  )

RAPPORT DU « PUBLICAIN » 15 SEPTEMBRE 1958

 À SA SAINTETÉ JEAN XXIII

Avec la vive gratitude et le filial dévouement du Publicain [1]

Une version pdf (35 pages ) est téléchargeable gratuitement ici CONGRÈS MARIAL INTERNATIONAL Lourdes 1958 maj 29 01 2013

Avant de prendre lecture de cette conférence, nous invitons le lecteur à voir un film d’archives , de 9 minutes, de 1958, année du centenaire des apparitions de Lourdes.


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La méditation, chemin du Ciel

La méditation, chemin du Ciel

 

 

 

 

 

 

 

Le publicain était incapable de méditer. Le soir, au chœur, après la lecture spirituelle, sitôt éteintes les bougies pour la méditation, il s’endormait. Le Père Pio lui donnait des coups de coude pour le réveiller, mais rien n’y faisait. Un jour le capucin lui en fit reproche.
– C’est plus fort que moi, répondit le jeune homme, je ne sais pas méditer.
– Mais alors, par quel chemin veux-Tu aller au Ciel ?
La question était d’importance. Mais le père n’insista pas et le publicain continua à dormir au lieu de méditer.

 

Extrait du livre Padre Pio mon père spirituel

Un noël avec le Padre Pio

Un noël avec le père

À tout instant de l’année, si on demandait par surprise dans combien de temps arriverait la fête de noël, le Père Pio répondait en précisant le nombre de jours et d’heures…

 – Aucune fête ne m’émeut comme celle-là, disait-il, la résurrection est l’éclatement de la gloire, mais noël est la divine tendresse qui prend l’esprit et le cœur.

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Le Salon des Ecrivains catholiques à Paris le 1 dec 2012

 

 

 

 

Le Salon des Ecrivains catholiques se tient chaque année début décembre dans la salle des fêtes de la Mairie du VIe arrondissement de Paris.

Lors de cette vente-dédicace, une centaine d’auteurs signent leurs oeuvres dont la variété est étonnante.

Son entrée est libre.

Voici une bonne occasion pour vous faire dédicacer le livre Padre Pio mon père spirituel, d’Emanuele Brunatto.

Un moment de convivialité et d’échanges avec l’auteur.

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